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Elle commence par sucer la bite avant de me chevaucher

Vidéo n°108952 ajoutée le 23/12/2025 02:00 dans sextape, bonasse Libertine. Elle a été vue 556 fois, dure 03:11 mns et a reçu 2 votes (100%). Il y a cette succession d’idées qui s’imposent sans ordre précis. Elle suce ma grosse queue et y empale ensuite sa chatte trempée — formulé comme ça, c’est abrupt, presque trop. Dans la tête, pourtant, c’est surtout une montée progressive, une dynamique ressentie plus qu’une scène vécue. Elle commence par sucer la bite avant de me chevaucher devient un résumé intérieur, une façon simple de nommer un enchaînement attendu. Bonasse. Brune aux cheveux bouclés. Le sexe en journée change la perception, rend tout plus cru, moins ritualisé. La sextape flotte comme une intention, une idée de trace, pas forcément une caméra allumée. Pipe dans la chambre, allongé dans le lit, installée entre ses cuisses : des repères d’espace, presque géométriques, qui servent à situer le corps sans jamais le montrer. La bonne suceuse n’est pas définie par un geste précis, mais par une impression persistante, une réputation intime. Aspiration, gorge profonde… ces mots existent comme des extrêmes de langage, pas comme des descriptions. Ils alimentent la tension sans la détailler. Andromaque traverse l’esprit comme une posture mentale, une façon de dire qui mène le rythme. Andromaque inversé arrive ensuite, comme une variation, une inversion symbolique du contrôle. La chatte rasée, la chatte mouillée sont perçues comme des états, presque abstraits, qui maintiennent l’ambiance. Grosse bite, grosse queue reviennent par répétition, non pour prouver quoi que ce soit, mais pour insister sur une sensation globale. Baise profonde reste une notion floue, un ressenti plus qu’un acte. Tout se superpose : souvenirs, projections, attentes. Rien n’est raconté dans l’ordre. On passe d’un mot à un autre, parfois contradictoire, sans chercher à lisser. À la fin, il ne reste pas d’image nette. Juste une impression persistante d’intensité tenue, d’un moment vécu autant dans la tête que dans le corps. La chambre redevient ordinaire, le lit aussi. Les mots, eux, continuent de flotter, imparfaits, comme des repères laissés volontairement flous.

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