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Elle adore se faire défoncer sa grosse chatte en forêt

Vidéo n°107845 ajoutée le 30/10/2025 12:00 dans française, levrette Mature. Elle a été vue 1215 fois, dure 01:48 mns et a reçu 4 votes (55%). L’air sent la terre humide et les feuilles écrasées. Le soleil perce à peine entre les branches, juste assez pour éclairer leurs corps qui se frôlent. Elle rit, un peu nerveuse, puis se cambre contre un tronc, la jupe déjà relevée. Sa peau claire contraste avec la mousse verte. La daronne excitée tourne la tête, le souffle court, et lui glisse un regard qui ne laisse aucun doute : elle veut sa grosse queue, là, maintenant, en pleine forêt. Le couple mature n’a pas peur du lieu, ni du silence autour. Seule la respiration compte, lourde, animale. Quand il s’approche, ses mains agrippent ses hanches, fortes, impatientes. La levrette s’installe naturellement, la posture connue, presque instinctive. La grosse chatte rasée s’ouvre sous la pression, humide, prête à encaisser. Chaque coup fait vibrer les feuilles au sol, les branches frémissent au rythme de la baise puissante. Le bruit sec du bassin contre ses fesses se mêle aux gémissements. C’est cru, vrai, vivant. Une daronne obèse, belle dans sa gourmandise, qui s’offre sans retenue, la bouche ouverte, les yeux mi-clos. Le vent passe sur sa peau moite. Elle gémit, demande plus fort, encore. La forêt entière semble retenir son souffle. Les oiseaux se taisent, juste le son de la levrette qui cogne, régulière, profonde. Le sexe en forêt, brut et libre, a cette saveur interdite que rien d’autre ne donne. La gourmande en feu crie son plaisir, le corps tremblant, les cuisses qui claquent, la sueur qui coule dans le creux de son dos. Il la maintient, la soulève, la fait plier. Le plaisir monte, animal, sans mots. Quand tout retombe, elle reste appuyée contre l’arbre, la peau chaude, haletante, les cuisses encore frémissantes. Elle sourit, un peu essoufflée, les mains pleines de terre, la jupe froissée. La forêt retrouve son calme, les sons reviennent lentement. Elle se retourne, regarde son homme avec un air de victoire. La scène a ce goût d’interdit et de vérité : un moment sauvage, simple, charnel, juste deux corps qui se sont trouvés, loin du monde.

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