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Une pipe baveuse en portant une cagoule de libertine

Vidéo n°108169 ajoutée le 09/11/2025 14:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 556 fois, dure 00:57 mns et a reçu 3 votes (47%). La lumière du matin glisse à travers les rideaux à demi fermés, dessinant des ombres tremblées sur le mur. L’air sent le café froid et le cuir, cette odeur épaisse qui colle à la peau après une nuit trop dense. Le silence a quelque chose d’électrique, suspendu, comme si chaque geste retenait son souffle. Et là, au centre de tout, elle. Cagoulée. Immobile un instant, puis lentement, elle s’avance. La libertine qu’elle est devenue ne parle plus. Ses yeux brillent à travers la fente de la cagoule, mélange étrange de timidité et d’audace nue. Dans le miroir, son reflet vacille, presque irréel. Le cuir épouse son visage, accentue la courbe de ses gros seins, leur lourdeur tranquille. Le contraste entre la douceur de la peau et la rugosité du tissu crée cette tension qu’on sent jusque dans l’air. Il la regarde, un peu hébété, un peu fasciné. C’est sa femme, mais c’est une autre à la fois. Une chienne en manque, peut-être, ou simplement une femme libre d’aller là où son envie la mène. Elle s’agenouille sans un mot, le regard levé, et approche sa bouche. La pipe baveuse commence lentement, comme un rituel. Le son humide, le rythme irrégulier, la chaleur de la respiration contre la peau – tout se mêle. Rien n’est parfait, et c’est ça qui rend le moment vivant. La grosse bite se tend, respire presque à son tour. Chaque va-et-vient devient une phrase silencieuse, un dialogue sans mots entre deux êtres qui se connaissent trop bien pour avoir besoin de parler. Elle en rajoute, exagère un peu les bruits, la salive, comme pour marquer le coup. C’est cru, mais vrai. Sa bouche à pipe avale, glisse, reprend, recommence, sans jamais rompre le contact du regard. Le corps obèse se tend légèrement, un mélange de gêne et de plaisir. Dans cette scène, rien n’est lisse, tout est rugueux, humain, palpable. Une salope déchaînée dans son monde, une femme mature dans le sien. Le couple mature qu’ils forment n’a plus besoin d’apparences : juste du vrai, du brut, du sincère. Les sons deviennent musique : souffle, salive, petits claquements contre la peau, soupirs entrecoupés. Quand elle s’arrête enfin, la bouche brillante, la respiration saccadée, il reste ce calme étrange. Ni honte, ni fierté. Juste cette complicité muette qui fait tenir les années. La cagoule encore sur la tête, elle rit doucement. Un rire franc, simple. Parce que derrière le cuir, il n’y a pas une inconnue. Il n’y a qu’elle, la même, fatiguée, vivante, aimante, libre.

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