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Ma soumise bourrée en train de sucer ma grosse bite

Vidéo n°108206 ajoutée le 13/11/2025 18:00 dans fellation, bonasse Libertine. Elle a été vue 4600 fois, dure 00:15 mns et a reçu 2 votes (90%). Le silence de la chambre se mêle au bourdonnement lointain de la ville. L’air a gardé l’odeur d’une soirée un peu longue, entre chaleur et fatigue. Elle s’allonge sur le lit, un sourire aux lèvres, la peau encore moite. Tout est dans la lenteur : les gestes, le souffle, la tension qui monte doucement. Elle se tourne vers lui, un regard qui en dit trop. Elle sait déjà ce qu’il attend, ce qu’il aime. Une salope excitée, libre, joueuse, qui aime les moments simples. Il ne parle pas. Il la regarde bouger, descendre, approcher. Le drap glisse, le bruit du tissu froissé accompagne la respiration. Sa main effleure sa cuisse, un geste sûr, presque possessif. La bouche à pipe s’avance, timide une seconde, puis confiante. Une fellation dans le lit, calme et concentrée, sans faux-semblant. La chaleur de sa bouche, la lenteur de ses lèvres, la sensation brute d’une grosse bite qui se tend sous sa langue. Le sexe en soirée a ce goût d’abandon, de fin de jour, où tout devient flou. La branlette s’ajoute parfois au rythme, sa main glissant entre les pauses, entre deux souffles. Il ferme les yeux. La scène est simple, vraie, sans décor. Une lampe allumée, la respiration qui s’emballe, le bruit discret de la salive. Rien d’autre. Elle le fait lentement, parce qu’elle aime ça, cette maîtrise-là. Sa chatte mouillée frotte contre le drap, impatiente, presque nerveuse. L’excitation monte dans les gestes, dans les petits sons qui s’échappent, dans la peau qui frissonne. Il la guide du bout des doigts, sans forcer. Une main posée sur sa tête, une autre sur sa hanche. Elle se redresse un peu, reprend son souffle, puis continue. La lumière glisse sur son visage, sur son cou, sur ses épaules. Chaque mouvement devient plus profond, plus précis, plus vivant. C’est un langage silencieux qu’ils partagent, celui du corps, du désir, du consentement total. Et puis vient ce moment suspendu, où le rythme s’accélère, où le souffle devient court. La salope bourrée d’envie ne s’arrête pas. Elle continue, parce que c’est là qu’elle se sent vivante. Ce n’est pas un rôle, c’est une évidence. Un plaisir cru, sans artifice, assumé. Quand tout s’apaise enfin, elle se couche sur lui. Le silence revient, chaud, rassurant. Il la serre contre lui. Le monde dehors s’efface.

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