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Ma salope obèse en train de me branler

Vidéo n°108564 ajoutée le 05/12/2025 10:00 dans française, branlette Amatrice. Elle a été vue 1904 fois, dure 00:59 mns et a reçu 2 votes (100%). L’après-midi glissait doucement dans le salon, cette lumière plate, un peu trop franche, qui tombe d’un coup sur les meubles et rend chaque détail plus réel que nécessaire. Le canapé, avec ses coussins affaissés et sa couverture tirée n’importe comment, donnait déjà le ton : un décor ordinaire, un moment banal qui bascule sans prévenir. Ma femme obèse, une française avec cette présence massive et tendre à la fois, s’est installée près de moi comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Daronne habillée, gros seins sous le tissu, poitrine naturelle qui bouge un peu quand elle s’ajuste, elle avait ce calme concentré des salopes excitées qui ne se forcent pas, qui suivent une impulsion aussi simple qu’un souffle. Le sexe en journée a toujours ce côté presque trop vrai, trop cru. Rien n’est caché, tout est offert à la lumière. Elle s’est tournée vers moi avec cette façon de regarder qui dit tout : une envie de proximité, de chaleur, d’exhibition discrète peut-être, ce frisson léger de se savoir observée même si personne ne regarde. Le POV s’imposait tout seul, comme si l’instant se racontait à travers mes yeux, mes mains, ma respiration. Sa main s’est posée sans hésiter. Une branlette sur le canapé qui n’avait rien de préparé, juste un geste brut, inscrit dans le quotidien. Ma grosse queue, ma grosse bite dans ce rôle central, se retrouvait prise dans cette cadence lente, instinctive. Elle bougeait avec une précision tranquille, ses doigts larges et sûrs glissant avec une familiarité presque tendre. La grosse chatte qu’on devinait sous ses vêtements, même sans être visible, participait au décor. Ça se lisait dans son souffle, dans sa façon de serrer les jambes, dans ce petit mouvement de bassin qu’elle laissait échapper malgré elle. La scène avait cette gravité douce qu’on retrouve dans une exhibition involontaire. Rien d’ouvertement montré, mais tout est suggéré : la posture, la lumière, la proximité. Elle restait habillée, daronne posée dans son rôle, mais chaque mouvement trahissait la tension, le désir contenu qui circulait entre nous. Ses gros seins, la manière dont sa main entourait ma queue, tout vibrait d’une sincérité étrange, loin du cliché. Et quand la tension montait, quand la respiration se coupait un peu, l’éjaculation entre ses doigts n’était pas une explosion spectaculaire. C’était simplement la fin logique d’un geste vrai, humain, une trace chaude laissée dans un moment qui n’avait rien d’artificiel.

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