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Ma femme me suce pendant que je doigte sa copine

Vidéo n°108653 ajoutée le 07/12/2025 08:00 dans française, Trio Libertine. Elle a été vue 5913 fois, dure 01:49 mns et a reçu 8 votes (80%). Un frisson traverse la pièce avant même que quoi que ce soit commence, un truc presque imperceptible mais qui change tout dans la façon dont les corps se rapprochent. Ça part d’un geste simple : ta nana, française, qui se penche vers toi avec cette assurance tranquille, cette manière de prendre ta grosse bite comme si elle savait déjà comment te faire perdre le fil. Sa bouche s’ouvre, chaude, patiente, une fellation qui devient vite une pipe baveuse, une montée lente où sa respiration se mélange à la tienne. Elle prend son temps, joue avec le rythme, glisse vers quelque chose qui ressemble à une gorge profonde, mais sans jamais briser cette ambiance douce et tendue à la fois. À côté d’elle, sa copine, une grosse brune au sourire nerveux, hésite à peine avant de se rapprocher. Elle n’a pas besoin d’être poussée : son corps parle pour elle. Sa chatte rasée, déjà brillante d’une chatte mouillée, montre qu’elle n’est pas là en figurante. Une salope excitée, clairement, mais sans caricature : c’est dans sa façon de respirer, de serrer les cuisses, de se mordiller la lèvre. Une chienne en manque, peut-être, mais surtout une femme qui assume un plan à trois sans détour. Quand ta main glisse entre ses cuisses, tout bascule. Elle ouvre les jambes d’un coup, comme si elle attendait ce moment depuis trop longtemps. Ta main trouve la chaleur, trouve la texture, trouve cette tension intérieure qui n’attend qu’un contact pour exploser. Le doigt s’enfonce, puis un autre, lentement, et elle tremble. Une gourmande déchaînée, vraiment. Une Salope en feu dans sa manière de bouger, dans la façon dont elle roule des hanches contre ta paume pour t’imposer le rythme qui la mène droit à la jouissance. Devant, ta femme continue sa pipe, avale, remonte, te regarde parfois du bas comme pour vérifier que tu tiens encore debout. Elle accentue, accélère, mélange salive et souffle, un mélange brut qui te tire à l’intérieur. Autour de vous, l’air devient plus dense, plus chaud. Rien n’est forcé, rien n’est joué. Juste un trio, un vrai plan à trois, où chaque geste circule d’un corps à l’autre, où l’envie passe, revient, éclate à travers les mains, les lèvres, la peau. Une scène spontanée, assumée, crue dans sa dynamique, mais racontée avec la distance nécessaire pour la laisser respirer.

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