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Je la démonte en levrette dans son salon

Vidéo n°108893 ajoutée le 19/12/2025 22:00 dans française, plan cul Mature. Elle a été vue 511 fois, dure 01:43 mns et a reçu 2 votes (100%). Le salon est le sien, pas le mien. Et ça change tout. Il y a ce léger décalage dès l’entrée, cette sensation d’être invité pour une raison précise, sans détour. Je baise mon plan cul en levrette dans le salon, je la démonte en levrette dans son salon : les phrases existent comme des raccourcis bruts, mais ce qui se joue réellement est plus diffus, plus installé, presque tranquille dans sa certitude. Elle est française, plan cul assumé, brune, cheveux bouclés qui tombent sans chercher à être apprivoisés. Le couple mature que nous formons le temps de ces moments n’a rien à prouver. Pas de promesse, pas de projection. Juste une dynamique connue, répétée, presque confortable. Les gros seins, la poitrine naturelle participent à cette présence pleine, ancrée, qui occupe l’espace sans effort. Rien n’est pressé, même quand l’envie est là. La levrette apparaît comme une posture évidente, une manière de se placer dans le cadre, pas comme une suite d’actions. C’est une attitude, un choix de positionnement plus mental que mécanique. La grosse bite est évoquée comme un repère, une pression ressentie, jamais comme un objet décrit. La chatte rasée est un détail intime, presque banal dans ce contexte, un signe que l’habitude a remplacé la gêne depuis longtemps. La fellation flotte comme une idée connue, une possibilité intégrée à notre façon de fonctionner, sans qu’il soit nécessaire de la raconter. Le mot creampie traverse l’esprit comme une étiquette mentale, un terme cru qui renforce la tonalité sans devenir une scène. Tout se joue davantage dans le rythme, dans la façon dont le corps répond, dont le souffle change, que dans les gestes eux-mêmes. Son salon, ses repères, ses objets autour. Le décor n’est pas répété, mais il pèse, il rappelle que l’on est chez elle, dans son espace, et que cette intimité-là est volontairement détournée. Il n’y a pas de mise en scène excessive. Juste une évidence partagée, une envie qui s’exprime sans fioriture. Le texte reste volontairement posé, humain, presque familier. On ne cherche pas l’explosion ni le spectaculaire. On reste dans cette zone grise entre habitude et excitation, où le désir s’installe sans bruit. Une scène adulte, suggérée, ancrée dans une relation claire, qui laisse une impression durable plutôt qu’une image précise.

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