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Je frotte ma queue contre sa chatte trempée

Vidéo n°107469 ajoutée le 24/11/2025 04:00 dans française, branlette Libertine. Elle a été vue 1529 fois, dure 01:30 mns et a reçu 4 votes (100%). La chambre respire encore la chaleur de la nuit. La fenêtre entrouverte laisse passer un souffle tiède, et sur le drap froissé, la lueur de la lampe découpe des ombres mouvantes. Elle est là, nue à moitié, la peau humide d’envie, les yeux mi-clos, cette façon qu’elle a de se cambrer comme pour appeler le contact. C’est cru, sincère, typique de ce sexe amateur où rien n’est préparé, juste la pulsion qui prend le dessus. Le moment a ce parfum de vérité, de sueur et de désir contenu. Je m’approche, sans un mot, mon souffle se mêle au sien. Sa chatte rasée brille à la lumière, encore trempée de plaisir, et le moindre frôlement suffit à faire remonter un frisson. J’frotte ma queue contre elle, lentement, pour sentir la chaleur qui pulse sous la peau. Elle gémit, un son étouffé, presque animal. Ses gros seins se soulèvent, lourds, naturels, et son gros cul s’offre comme un appel silencieux. Tout est là : la daronne excitée, la quinquagénaire encore en feu, cette femme vraie qui transpire le plaisir simple et brut. Le geste devient plus pressé, mes reins avancent, se retiennent, reculent, recommencent. Le bruit humide, la moiteur, l’odeur chaude du corps — ça rend dingue. Elle se cambre davantage, sa bouche entrouverte laisse filer un gémissement qu’elle ne contrôle plus. Une main sur sa hanche, l’autre sur ses fesses, je sens la tension monter, la chienne en manque prête à exploser. La levrette n’a même pas commencé qu’elle tremble déjà, offerte, soumise, juste là, à portée de tout ce qu’on a retenu trop longtemps. Le lit grince, la sueur colle, la lumière faiblit. On oublie le temps, on oublie le monde. C’est une scène sans décor, sans calcul, juste un couple mature dans la vérité de la nuit. Ce mélange d’instinct et de tendresse, de gestes précis et de chaos, de peau contre peau. Elle rit entre deux halètements, se retourne un instant, les yeux brillants. Je sais qu’elle aime ça, que c’est sa façon d’être vivante. Alors j’me frotte encore, encore… jusqu’à ce que le silence revienne, lourd et doux à la fois.

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