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Je filme ma femme se faire démonter en levrette

Vidéo n°108574 ajoutée le 02/12/2025 10:00 dans française, levrette Libertine. Elle a été vue 1467 fois, dure 01:08 mns et a reçu 3 votes (100%). La lumière tombait droit depuis la fenêtre, cette clarté un peu trop franche du sexe en journée qui écrase les ombres et rend tout plus réel, plus cru, presque trop proche. Je me suis retrouvé là, immobile un instant, avec cette sensation étrange dans la poitrine : un mélange de tension, de chaleur, et d’une lucidité presque tranchante. Et au centre de la scène, il y avait elle. Ma française, ma Brune, ses cheveux courts encore un peu décoiffés, son corps offert sans détour, entièrement présent. Elle était déjà en levrette, les genoux ancrés dans le lit, le dos parfaitement cambré comme si son corps connaissait la position mieux que tout le reste. Ses gros seins pendaient légèrement sous elle, suivant le rythme de sa respiration, et j’ai senti ce vertige familier : cette femme que je connais par cœur, soudain prise autrement, dans un cadre que je regarde plutôt que je vis. Sa chatte mouillée brillait dans la lumière, un détail simple mais qui dit tout de l’intensité du moment. Le plan cul derrière elle avançait avec ce mélange d’assurance et d’urgence, le corps tendu, précis. Une baise profonde, franche, sans hésitation, sans gestes superflus. Et moi, debout, à un mètre à peine, je filmais, la main un peu tremblante au début, comme si le décor lui-même me demandait de tenir ma place. Ce rôle de mari cocu, je le sentais différemment à chaque seconde : pas un effacement, pas une humiliation, mais une observation lucide, une immersion brute dans ce moment de candaulisme qui se déroulait sous mes yeux. Elle, elle gémissait par saccades, des sons courts, presque secs, qui sortaient sans qu’elle puisse les retenir. Son visage ne se voyait pas, mais tout son corps parlait pour elle : les reins qui reculaient un peu plus à chaque coup, les doigts crispés dans la couverture, les cuisses qui s’ouvraient juste assez pour suivre le rythme. Une femme de couple mature, mais vivante comme une gamine en manque, ancrée dans l’instant comme une évidence. Je continuais à filmer, pas pour garder une preuve ou un trophée, mais parce que le geste semblait naturel, presque obligatoire : comme si le moment ne pouvait exister qu’en étant regardé, enregistré, assumé. Le mot cocu tournait dans ma tête, mais sans la douleur qu’on lui prête d’habitude. C’était autre chose, un territoire qu’on explore sans vraiment le nommer. Et pendant quelques minutes, tout s’est résumé à ça : la lumière trop blanche, le lit un peu froissé, leurs corps qui s’entrechoquent, et moi, témoin volontaire d’une scène qui raconte à la fois ce que nous sommes, et ce que nous osons regarder en face.

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