Je baise lentement la chatte serrée de mon épouse

Vidéo n°107953 ajoutée le 24/12/2025 06:00 dans française, chatte rasée Mature. Elle a été vue 1438 fois, dure 01:13 mns et a reçu 2 votes (60%). La soirée s’installait doucement, avec cette lumière un peu épaisse qui glisse sur les objets et transforme tout en décor plus intime que prévu. Je me rappelle surtout du silence, un silence vivant, presque chargé, comme si quelque chose attendait juste derrière l’air tiède. Elle marchait lentement dans la pièce, rien de spectaculaire, juste cette façon de se déplacer qui disait qu’elle avait envie d’un moment coquin, d’un temps à part où tout devient un peu plus vrai, un peu plus cru. Et je savais déjà, au rythme de ses gestes, qu’elle avait envie de se faire prendre sa chatte rasée, sans détour, sans mise en scène compliquée. Elle s’assoit au bord du lit, puis s’allonge avec cette tranquillité qui rend tout plus simple. Ses cuisses s’écartent naturellement, comme une invitation qui n’a pas besoin de mots. Je vois sa chatte mouillée, cette façon qu’elle a de réagir avant même que je la touche vraiment. Il y a chez elle cette dualité bizarre : une salope nue dans ses envies, mais toujours avec une pudeur discrète dans sa façon de respirer, dans ses petits gestes pour replacer un coussin ou tirer un drap. Petits seins, poitrine naturelle, rien de forcé, rien d’exagéré, juste son corps dans la lumière du soir. Quand je m’approche, je sens qu’elle serre un peu les jambes, pas pour empêcher, juste parce que sa chatte serrée réagit avant elle. C’est un détail que j’ai toujours reconnu : ce mélange de timidité et de Salope excitée, ce truc qui la fait hésiter une demi-seconde avant d’ouvrir un peu plus. Je la touche du bout des doigts, doucement, sans chercher à aller vite. Le sexe en soirée a toujours ce tempo particulier, un mélange de lenteur et de chaleur qui laisse plus de place aux sensations. Elle respire fort, mais pas bruyamment ; c’est un souffle qui tremble juste ce qu’il faut pour dire qu’elle est prête. Quand je me place en missionnaire, c’est naturel, presque automatique. Nos corps connaissent cette position depuis longtemps, mais ce soir-là, tout avait une intensité différente. Je la sens se tendre sous moi, sa chatte rasée qui se prépare, son bassin qui bouge à peine, juste assez pour guider. Ma grosse bite avance lentement, sans brusquer, parce que c’est ce qu’elle aime : une baise sensuelle, progressive, qui laisse chaque seconde exister. La pénétration est lente, vraiment lente, comme si je voulais imprimer chaque millimètre dans sa mémoire. Sa chatte serrée m’enveloppe avec cette précision presque trop intense, qui te coupe un peu la respiration. Elle agrippe mes bras, pas pour me retenir, mais pour accompagner le mouvement, pour sentir le rythme au plus près. La lumière glisse sur son ventre, sur ses petits seins qui bougent à chaque va-et-vient. Elle ferme les yeux, mais pas pour fuir ; plutôt pour mieux ressentir. Ses cuisses écartées tremblent un peu, sa chatte mouillée pulse légèrement autour de moi, et tout prend une allure de scène suspendue, comme si le temps se dilatait autour de nos corps. Il n’y a pas de brutalité, pas d’urgence, juste cette lenteur volontaire qui fait monter la tension sans jamais l’exploser d’un coup. Elle murmure des mots qu’elle ne dira jamais en pleine journée, des mots qui n’appartiennent qu’à ce type de moment-là. Elle serre, elle relâche, elle respire contre mon cou en mélangeant désir et abandon. Et moi, je continue lentement, encore, parce que la lenteur devient presque une langue en soi. Une façon de lui dire qu’elle peut tout laisser tomber, qu’elle peut être elle-même, entre salope excitée et femme pudique, entre envie d’être prise et douceur du soir. Quand je la regarde, allongée sous moi, avec sa peau qui chauffe, son ventre qui se contracte, ses gestes minuscules pour m’attirer encore un peu plus, je comprends que tout se jouait là : dans cette lente pénétration, dans cette connexion calme et brûlante. C’était un moment coquin, oui, mais surtout un moment vrai, un de ceux qui restent dans la tête longtemps après.

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