sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

J'adore la défoncer par le cul

Vidéo n°108904 ajoutée le 20/12/2025 00:00 dans française, sodomie Libertine. Elle a été vue 1314 fois, dure 04:16 mns et a reçu 3 votes (73%). Il y a des envies qui ne cherchent pas à être jolies. Elles s’installent, simplement, avec le temps et l’habitude. J’adore prendre le cul de mon épouse, j’adore la défoncer par le cul : ce sont des phrases qui circulent dans la tête comme des raccourcis bruts, mais la réalité du moment se vit autrement, plus lentement, plus chargée de sensations que de gestes précis. Elle est française, et notre relation a dépassé depuis longtemps les cadres sages. Le désir s’est transformé en quelque chose de plus profond, plus assumé. La sodomie, le sexe anal, ne sont pas ici une provocation, mais un terrain connu, exploré ensemble, avec ses codes et ses limites. La grosse bite, la grosse queue deviennent des repères mentaux, des mots qui traduisent une intensité ressentie, pas une démonstration. Tout se joue dans la confiance et dans cette façon de se retrouver quand l’envie revient, sans surprise. La levrette apparaît comme une posture familière, presque évidente, une manière de se placer, de se donner, sans avoir besoin d’en dire plus. L’anulingus est suggéré comme une attention portée à l’autre, une préparation, un moment de connexion silencieuse. La sodomie profonde, la baise lente sont des idées, des rythmes, pas des scènes détaillées. On est loin de la précipitation. Le temps compte autant que le désir. Elle est chienne en manque dans l’attitude, dans cette façon de réclamer sans parler, de se cambrer, de respirer différemment. La jouissance anale n’est pas montrée, elle se devine, dans les réactions, dans le relâchement progressif, dans ce moment où le corps lâche prise. Le terme creampie traverse l’esprit comme une étiquette crue, un mot pensé plus que vécu visuellement, renforçant la tonalité sans basculer dans l’explicite. Ce qui domine, c’est cette lenteur volontaire, ce contrôle partagé. Rien n’est brutal dans la manière, même si les mots le sont. Le plaisir s’installe dans la durée, dans la répétition connue, dans cette intimité adulte où chacun sait ce qu’il aime et pourquoi. Le texte reste volontairement posé, centré sur le ressenti et la psychologie du couple, laissant une impression lourde et persistante, plutôt qu’une image nette ou spectaculaire.

3 votes (73%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment