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Elle suce ma grosse queue devant le film du soir

Vidéo n°108561 ajoutée le 05/12/2025 02:00 dans fellation, française Amatrice. Elle a été vue 2804 fois, dure 02:24 mns et a reçu 6 votes (80%). La télé diffusait une lumière bleue un peu vacillante, ce genre d’ambiance qui transforme un simple film du soir en décor presque intime. Le canapé grinçait légèrement sous nos mouvements, et dans cette atmosphère tranquille, sans tension particulière, il y avait ce moment suspendu où tout semble possible. Ma nana, une française au corps généreux, salope obèse dans le sens brut qu’on utilise pour dire qu’elle s’assume complètement, s’est tournée vers moi avec ce petit sourire de coquine excitée. Rien de forcé, juste cette évidence silencieuse qui passe entre deux regards pendant un sexe en soirée. L’air du salon était tiède, un mélange de parfum de lessive et de chaleur humaine. Elle s’est rapprochée, son corps lourd et doux à la fois s’affaissant tranquillement sur le canapé, et la scène a pris ce rythme lent, très concret. La pipe sur le canapé, ce n’était pas un événement en soi, juste un geste qui vient naturellement quand l’envie glisse dans l’espace du quotidien. Ma grosse bite, ma grosse queue au centre du moment, devenait ce point d’ancrage sans aucune mise en scène. Une simple présence, chaude, lourde, vivante. Elle s’est positionnée entre mes cuisses avec cette aisance qu’ont les bonnes suceuses qui savent exactement comment placer la bouche à pipe. La lumière de la télé dessinait des reflets sur son visage, sur ses lèvres qui s’entrouvraient, sur cette manière appliquée qu’elle avait de se concentrer sur ce qu’elle faisait. La fellation prenait une allure presque tranquille, un rythme condensé, ponctué de petits bruits humides qui se mêlaient à ceux du film. Elle ne se pressait pas. Elle goûtait, sentait, aspirait doucement, jouant avec ma grosse bite comme si le temps lui appartenait. Sa chatte mouillée, même sans la voir, se lisait dans ses mouvements. Une façon de bouger trop fluide pour être neutre. Une respiration trop profonde. Une tension dans les épaules quand elle accélérait un instant, puis se calmait. Le sexe dans le salon, dans cette lumière froide du film, avait quelque chose de vrai, presque quotidien, mais chargé d’une chaleur brute impossible à ignorer. Quand elle relevait la tête, les lèvres brillantes, les yeux un peu embués, c’était ce mélange de plaisir et de sérieux, comme si elle accomplissait une tâche qu’elle aimait vraiment. Et l’éjaculation buccale planait au-dessus de nous comme une conclusion qui attendait juste son moment, naturelle, ni théâtrale ni forcée. Un simple prolongement du geste, du soir, de la scène entière.

6 votes (80%)
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