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Elle suce la bite molle de son mec

Vidéo n°108987 ajoutée le 25/12/2025 10:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 1804 fois, dure 02:01 mns et a reçu 2 votes (100%). La musique est trop forte pour couvrir ce silence précis, celui qui s’installe quand tout le monde croit encore que la soirée peut basculer. Elle est là, adossée au mur, verre tiède à la main, à observer son mec sans vraiment le regarder. Dans sa tête, ça tourne mal, ça tourne trop. Elle se répète des mots pour se calmer, presque comme des étiquettes collées à la va-vite : française, sexe en soirée, chienne excitée, salope en manque. Ce sont des pensées brutes, pas des faits. Rien ne se passe vraiment, mais tout est déjà chargé. Elle se sent jugée avant même d’agir. Laideron, grosse, gros seins, poitrine naturelle… ce sont des termes qui lui reviennent sans qu’elle sache pourquoi, comme si elle se les lançait à elle-même pour garder le contrôle. Elle sait qu’on la regarde, qu’on la jauge, et ça crée une tension étrange, une envie confuse. Fellation, bite molle, queue molle : ce ne sont pas des gestes, juste des mots qui flottent, des images mentales qui la traversent sans jamais devenir concrètes. Elle pense à son compagnon, à cette proximité maladroite entre eux, à ce moment où elle pourrait s’approcher, ou pas. Rien n’est décidé. Elle se définit comme bonne suceuse dans un coin de sa tête, non pas par fierté, mais comme une manière de se rassurer, de se rappeler qu’elle a une place quelque part. Saloperie de réflexe. Chienne excitée, encore ce terme, qui revient, insistant, presque ironique. Son corps réagit avant elle : chatte rasée, chatte mouillée, sensations diffuses qu’elle n’explique pas. Ce n’est pas une scène, c’est une impression. Une chaleur qui monte, puis redescend. Elle se demande comment elle est perçue, comment elle se perçoit elle-même. Salope suçant la bite molle de son mec ? Non. Juste une projection mentale, une caricature qu’elle utilise pour se provoquer, pour rester éveillée dans ce brouhaha. La soirée continue, sans rupture nette. Elle reste là, entre envie et retenue, consciente de ses contradictions. Rien n’est fait, rien n’est montré. Seulement cette tension qui persiste, lourde, presque familière, et qui pourrait s’éteindre d’un coup… ou traîner encore longtemps.

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