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Elle se prend ma grosse bite dans son cul en levrette

Vidéo n°107977 ajoutée le 29/12/2025 00:00 dans française, sodomie Libertine. Elle a été vue 6109 fois, dure 07:15 mns et a reçu 6 votes (93%). Une lumière pâle traverse la chambre, un filet clair qui glisse sur les draps et fait ressortir chaque détail du décor comme si la journée retenait son souffle. Dans ce calme un peu étrange, on retrouve cette dynamique propre à un couple mature, cette intimité forgée par les années, où tout se dit sans parler. Ma femme avance lentement vers le lit, avec cette assurance tranquille qui lui appartient, ce mélange de provocation tendre et de naturel désarmant. Ses gros seins prennent la lumière, et son corps entier raconte déjà qu’elle est prête à vivre un moment dense, vrai, sans masque. Son attitude change subtilement, comme un glissement intérieur. Ce n’est plus simplement ma femme : c’est cette vieille salope qu’elle assume parfois dans nos jeux, celle qui se laisse guider par son envie sans chercher à la maquiller. Elle se met en levrette, tranquille, le dos légèrement cambré, les hanches offertes, le regard posé quelque part entre l’attente et le lâcher-prise. Rien d’explicite ici : juste la posture, l’attitude, la disponibilité d’une femme qui connaît son corps et le revendique. Le contexte de sexe anal, de sodomie, n’apparaît pas dans des gestes bruts mais dans l’atmosphère. Dans le rythme de sa respiration qui change. Dans son bassin qui cherche un angle précis. Dans cette tension particulière qui traverse son dos quand la chaleur monte. Son anus dilaté n’est pas montré, seulement suggéré dans la manière dont son corps s’ajuste, dont ses muscles se relâchent par vagues successives. Ma grosse queue, ma grosse bite, ne sont pas décrites dans l’acte, seulement présentes dans l’intention, dans la manière dont elle les attend, les imagine, les prépare. Par instants, elle frissonne, un petit tremblement discret qui la trahit. Sa peau chauffe, ses reins se crispent, et je reconnais cette montée : cet élan où elle devient une chienne, non pas dans la vulgarité mais dans l’abandon, dans ce lâcher-prise qui la rend plus vivante encore. Il y a aussi cette dimension plus intime, presque secrète, celle du anulingus, non pas montré mais évoqué dans la façon dont elle se positionne, comme si son corps se souvenait de gestes passés. Et puis il y a la fin, celle qu’on devine plus qu’on ne regarde. Une chaleur profonde, un relâchement complet, cette impression de vague interne qui fait penser à une creampie sans jamais la montrer. Elle reste immobile quelques secondes, les épaules détendues, le souffle encore court. Une scène sans brutalité, sans détail cru : juste la vérité d’un moment partagé, ancré, vivant, porté par la confiance et le désir simple de deux personnes qui se connaissent trop bien.

6 votes (93%)
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Alain92
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Alain92 - Hésitant | Il y a 9 heures | 1405 commentaires | 0 Pts | 0 vidéos |
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Belle sodo énergique, Madame est accueillante, dialogues coquinous. Bravo. Manque juste un creampie ou un plan sur le trou de balle dilaté.
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