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Elle me suce la bite pendant que je regarde la télé

Vidéo n°108885 ajoutée le 19/12/2025 04:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 6004 fois, dure 00:20 mns et a reçu 3 votes (73%). Le salon est plongé dans cette lumière molle de fin de soirée, celle qui ne stimule rien mais qui rend tout plus lourd. Le film tourne, la télé parle presque toute seule. Moi, je regarde l’écran sans vraiment le voir. Ma salope me suce la bite pendant que je regarde un film. Elle me suce la bite pendant que je regarde la télé. Les phrases sont là, posées, mais ce qui se joue est plus lent, plus sourd, presque étouffé par le confort du canapé. Elle est française, blonde, installée au plus près, sans précipitation. La fellation, la pipe, ne sont pas une démonstration. C’est une présence constante, insistante, comme un fond sonore. La grosse bite, la grosse queue, la grosse queue veineuse ne sont pas montrées, elles s’imposent par le poids du moment, par cette proximité qui empêche de penser à autre chose. Elle est chienne en manque dans l’attitude, pas dans l’exagération. Salope excitée, oui, mais surtout concentrée, appliquée, déterminée à rester là tant que le film n’est pas fini. La chatte mouillée est évoquée comme une conséquence, pas comme un objectif. Les petits seins, la poitrine naturelle, se devinent dans les mouvements, dans la façon dont elle se cale entre mes jambes. Coquine déchaînée dans l’énergie, pas dans les gestes brusques. Il n’y a rien de rapide. L’envie de sexe est contenue, maîtrisée, presque frustrante volontairement. Bonne suceuse, bouche à pipe : ce sont des qualificatifs qui décrivent un savoir-faire tranquille, sans urgence, sans bruit inutile. La fellation sur le canapé transforme le salon en un espace ambigu. Ni vraiment intime, ni totalement banal. La télé continue, les images défilent, créant un contraste étrange entre ce qui se passe à l’écran et ce qui se passe hors champ. Rien n’est spectaculaire, tout est pesant. Cette pipe s’inscrit dans la durée, dans l’habitude détournée, dans un quotidien rendu volontairement malsain par la lenteur. Le texte reste volontairement sombre, étiré, presque inconfortable. Une scène adulte où le plaisir ne vient pas de l’explosion, mais de la répétition, de la constance, de cette sensation de contrôle tranquille. Des mots crus, oui, mais portés par une ambiance lourde, lente, qui s’installe et refuse de disparaître.

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