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Elle lui aspire la queue et se fait défoncer

Vidéo n°108104 ajoutée le 05/11/2025 14:00 dans fellation, bonasse Amatrice. Elle a été vue 11655 fois, dure 03:39 mns et a reçu 15 votes (87%). La lumière du couloir se faufile jusqu’au lit défait, découpant leurs corps dans un désordre de draps et de respirations courtes. La nuit a déjà bien avancé, mais leurs gestes n’ont plus rien de fatigué. Elle rit encore, la voix un peu cassée, les joues rougies par l’alcool. Une bonasse, belle à sa manière, la peau chaude, le regard trouble. Elle ramène ses cheveux derrière l’oreille, s’approche à quatre pattes, son cul de ouf encore tremblant de leur dernière baise. Il s’appuie contre l’oreiller, haletant. Elle, coquine bourrée mais lucide, le regarde longuement, les lèvres humides. Ses doigts glissent sur sa cuisse, remontent lentement, avant que sa bouche à Pipe ne prenne le relais. La fellation commence sans un mot, dans ce silence entre deux respirations. Sa langue tourne, aspire, avale, rejette, recommence. Une excellente suceuse, pleine d’envie, à la fois désordonnée et appliquée. Le bruit devient régulier, mouillé, un va-et-vient souple et franc. Sa chatte rasée frotte contre le drap, ses petits seins rebondissent à chaque mouvement. Elle gémit un peu, sans quitter le rythme, comme si le plaisir se prolongeait à travers ce qu’elle lui donne. Il la regarde, fasciné, les doigts dans ses cheveux, le souffle brisé. L’odeur de la sueur et du sexe flotte dans la chambre. Quand il la saisit doucement par les hanches, elle comprend tout de suite. Il la tire vers lui, la retourne, la pénètre encore, brutal et tendre à la fois. Elle rit, surprise, puis se cambre, chienne en chaleur, gourmande excitée qui en redemande. Le bruit des corps se mêle à celui de la respiration. C’est cru, vivant, sans calcul. La scène se termine comme elle a commencé : dans un mélange de rires et de sueur, le lit trempé, les cœurs encore battants. Elle s’allonge sur le ventre, la tête tournée vers lui, un sourire accroché aux lèvres. Il passe la main sur sa peau, glisse un doigt le long de sa hanche. Rien à dire, rien à rejouer. Juste cette réalité chaude et maladroite, celle d’un sexe amateur vrai, brut, imparfait.

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