sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Deux copines sucent une bite en extérieur

Vidéo n°108462 ajoutée le 26/11/2025 02:00 dans française, Trio Amatrice. Elle a été vue 360 fois, dure 03:06 mns et a reçu 2 votes (60%). Ça commence comme une scène de vie un peu bancale, un de ces moments qu’on aperçoit du coin de l’œil sans vraiment comprendre ce qu’on regarde. Une journée lumineuse, un parc, un parking, un coin d’ombre, peu importe : ce genre d’endroit banal où l’imagination part plus vite que la réalité. Et dans ce décor neutre, quelqu’un raconte avoir vu deux copines sucer une bite en extérieur, puis un autre répète l’histoire en mode encore plus brut : « Deux copines en train de sucer une grosse queue ». Ça se propage comme toutes les rumeurs un peu crues, sans preuve, sans contexte, juste parce que ça choque, ça amuse, ça intrigue. Autour de ça, les mots s’empilent — plan à trois, française, sexe en extérieur, branlette, fellation, grosse queue, grosse bite, pipe, sexe en journée, coquine excitée, fellation baveuse, branlette intense — mais ce sont surtout des projections, des expressions qu’on lâche pour donner du relief à une histoire qui, en vrai, n’a peut-être rien eu de tout ça. C’est la mécanique habituelle : un détail flou devient le carburant d’un fantasme collectif, chacun rajoute sa couche, et très vite il ne reste plus rien de vrai, seulement une légende que les gens se repassent avec un sourire en coin. On imagine alors les deux copines comme des silhouettes, peut-être juste en train de parler, de rire, de fumer, et la scène se transforme entièrement dans la tête de ceux qui la racontent. La mention du sexe en journée donne un parfum de scandale, celle du plan à trois ajoute un côté transgressif, et l’idée de branlette intense ou de fellation baveuse vient grossir artificiellement un récit qui n’a jamais été observé mais simplement imaginé. Ça devient une histoire que personne n’assume vraiment, un truc qu’on raconte pour épater la galerie, pour donner l’impression de vivre dans un quartier plus sulfureux qu’il ne l’est. Et au fond, ce genre de récit dit plus sur ceux qui l’inventent que sur les prétendues protagonistes. On y voit les fantasmes, les attentes, les images toutes faites qu’on projette sur deux simples amies qui, peut-être, n’ont jamais fait que passer un moment ensemble sans rien d’extraordinaire. Mais c’est fou comme les gens aiment remplir les blancs, ajouter du bruit, transformer l’ordinaire en histoire croustillante dès que l’occasion se présente.

2 votes (60%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment