sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Une soirée partouze avec ma femme et des blacks

Vidéo n°108646 ajoutée le 06/12/2025 22:00 dans française, partouze Mature. Elle a été vue 1394 fois, dure 02:23 mns et a reçu 3 votes (93%). La vibration lourde d’une soirée qui dérape doucement te reste dans la peau, un peu comme un bourdonnement sourd qui annonce que quelque chose est en train de basculer. L’ambiance est moite, les lumières basses, et ta femme, française, avance dans cette pièce avec une détermination étrange, presque calme. Il y a ce mélange de retenue et d’abandon que seuls les couples qui flirtent avec les limites connaissent vraiment. Tu sens immédiatement que ce n’est plus une soirée ordinaire : ça glisse vers une partouze, une orgie où chacun prend sa place sans un mot de trop. Elle se retrouve au centre, femme mature, parfois qualifiée crûment de vieille salope, ou même de laideron dans l’imaginaire un peu brutal de certains fantasmes, mais dans la réalité elle impose autre chose : une présence dense, assumée, qui surprend même ceux qui la regardent. Il y a chez elle cette énergie de chienne en manque, cette intensité de salope excitée qui n’a rien de caricatural — juste une tension réelle, quelque chose qui appartient à son corps autant qu’à son esprit quand elle franchit cette ligne. Autour d’elle, plusieurs hommes — des blacks, silhouettes massives qui se détachent dans l’ombre — se rapprochent sans précipitation. La scène reste neutre, contrôlée, presque ritualisée. On parle de fellation, de levrette, de sodomie, de sexe anal, de cunnilingus, d’anulingus, de gorge profonde, mais rien n’est montré : ce sont des mots qui flottent autour d’elle comme les balises d’un rôle qu’elle accepte pour cette soirée-là. Une exploration plus qu’un acte, une dynamique plus qu’un geste. Toi, tu regardes. Non pas comme un spectateur perdu, mais comme un mari cocu qui assume ce glissement. Pas un cocu humilié, mais un homme qui a décidé d’entrer dans cette tension étrange qu’on appelle parfois candaulisme. Voir sa partenaire désirée par d’autres, la voir prendre place dans une scène qui te dépasse et t’inclut à la fois, c’est un vertige particulier. Tu ne touches rien, mais tout passe par toi. Elle respire plus vite, avance, s’agenouille, se tourne, se cambre — sans que rien ne soit jamais décrit frontalement. Les corps s’approchent, se croisent, s’ajustent, mais le récit reste dans cette zone neutre où tout est suggestion, ambiance, poids émotionnel. Ce qu’on retient, ce n’est pas l’acte, mais la charge : sa manière d’assumer la soirée, de se perdre un peu, de se retrouver autrement au milieu de ces hommes qui la prennent dans leur imaginaire sans jamais franchir la limite du récit explicite. Une femme qui explore. Un groupe qui la regarde. Un mari qui encaisse, accepte, vacille. Une soirée qui laisse des traces, même sans les montrer.

3 votes (93%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment