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Plug, vibro et grosse queue pour cette chienne en feu

Vidéo n°108603 ajoutée le 03/12/2025 02:00 dans grosse bite, bonasse Amateur. Elle a été vue 1734 fois, dure 04:30 mns et a reçu 3 votes (47%). La première image qui reste, c’est cette lumière un peu tamisée qui glisse sur son corps, une brune aux cheveux longs, yeux marrons, qui semble déjà vibrer avant même que quoi que ce soit commence. Une bonasse avec une poitrine naturelle, petits seins mais une présence entière, un cul de ouf qui attire le regard sans effort. Elle s’installe sur le lit avec cette manière nerveuse et excitée de quelqu’un qui sait très bien ce qui va se passer. Ma grosse bite, son vibro et un plug pour la faire jouir : dit comme ça, c’est frontal, mais dans la réalité, c’était surtout une scène de tension douce, de préparation, de respiration qui monte. Plug, vibro et grosse queue pour cette chienne en feu, oui, parce qu’elle avait déjà ce tremblement discret dans les cuisses, cette impatience qu’elle ne camouflait même pas. Sa chatte rasée, sa chatte mouillée ne demandaient aucune explication : ça se lisait dans sa façon d’écarter légèrement les jambes, dans le souffle un peu trop court quand le vibro effleurait sa peau. Rien de théâtral, juste une envie assumée, presque tranquille. Elle prenait le plug comme un rituel. Pas de précipitation, juste un geste sûr, précis, qui montrait qu’elle savait ce qu’elle aimait. Le vibro suivait, posé contre sa peau, glissant doucement, traçant une ligne sur son ventre avant de s’arrêter exactement là où elle le voulait. Son corps réagissait immédiatement : le bassin qui se soulève, les doigts qui se crispent, un murmure étouffé qui trahit la chienne en feu qu’elle est dans ces moments-là. Quand elle se penche ensuite pour une fellation, c’est avec la même intensité. Une pipe baveuse, appliquée, presque dévorante, sa bouche enveloppant ma grosse bite comme si elle cherchait à accélérer sa propre montée. L’envie de me sentir en elle se reflétait dans chaque mouvement de tête. La capote glissait ensuite avec un naturel presque impatient. L’andromaque devenait la suite logique. Elle montait sur moi, guidée par son propre plaisir, vibro encore contre sa peau, plug en place, corps entièrement livré à la sensation. Elle prenait, elle donnait, elle vibrait littéralement, cherchant le point exact où tout se mélange. Un moment brut, vivant, où son désir prenait toute la place.

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