Mon laideron en train de me pomper la bite

Vidéo n°108543 ajoutée le 02/12/2025 04:00 dans fellation, française Amatrice. Elle a été vue 1381 fois, dure 01:16 mns et a reçu 2 votes (60%). La scène revient avec une lumière de fin de journée, un truc un peu terne, presque trop réel, qui s’écrase sur les murs sans chercher à embellir quoi que ce soit. C’est peut-être pour ça que ce moment me reste autant : rien n’est mis en valeur, rien n’est enjolivé, tout est à nu. Ma femme pas très belle qui me suce la queue, mon laideron en train de me pomper la bite… dit comme ça, c’est cru, brut, mais en vrai il y avait quelque chose d’encore plus vrai dans sa manière de se placer, de se pencher, d’assumer ce rôle sans détour. française, Salope moche peut-être, oui, mais surtout une femme qui n’a jamais compté sur son apparence pour se dérober au désir. La façon dont elle s’agenouille raconte tout : une salope excitée malgré elle, une chienne en manque qui sait très bien ce qu’elle vient chercher et ce qu’elle vient donner. Sa respiration un peu nerveuse, ses mains qui se posent avec une certaine maladresse mais une intention très claire, et surtout cette bouche à pipe qui s’approche doucement, comme si le geste était plus important que tout le reste. La fellation commence sans cérémonie. Une Pipe directe, franche, où chaque mouvement trahit son envie de bien faire. Elle devient une bonne suceuse dans cette précision-là, dans cette manière de caler ses lèvres autour de ma grosse bite, de suivre la pulsation de la grosse queue sans chercher à séduire autrement que par l’acte lui-même. C’est ça qui surprend toujours : elle n’a pas le corps d’une femme parfaite, pas le visage qu’on imagine dans un fantasme, mais elle a une volonté, une intensité qui dépasse largement l’image. On entend juste le froissement du tissu sous ses genoux, le souffle court qu’elle retient parfois, le petit bruit humide qui accompagne chaque va-et-vient. Rien d’autre. C’est presque silencieux, presque gênant dans sa vérité, mais profondément humain. Elle se donne comme elle est, entière, imparfaite, mais impliquée jusqu’au bout. Et c’est peut-être ça, au fond, qui fait la force du moment : pas le corps, pas le visage, mais cette manière sincère d’être présente, d’être là, de faire de sa laideur même quelque chose de vivant, d’intense, de réel.

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  La lumière tombait droit depuis la fenêtre, cette clarté un peu trop franche du sexe en journée…

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  La première image qui remonte, c’est cette lumière du soir un peu tremblée, celle qui glisse…

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