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Ma gourmande dans sa première baise en trio

Vidéo n°108235 ajoutée le 14/11/2025 20:00 dans française, Trio Mature. Elle a été vue 9102 fois, dure 00:57 mns et a reçu 10 votes (88%). La première chose qui me revient, c’est ce silence un peu dense qu’on sent juste avant que tout bascule, ce moment où l’air semble plus lourd, comme si la pièce retenait son souffle en même temps que toi. Rien d’explosif, rien de théâtral, juste cette tension électrique qui flotte quand une histoire s’apprête à changer de forme. Et dans cette version neutre, j’essaie de remettre tout ça à plat, d’en faire quelque chose de racontable sans perdre la charge réelle de ce qui se passe : un plan à trois, un trio, cette première fois où ton épouse — cette gourmande, comme tu la décris — traverse un territoire encore inconnu. La scène se déroule dans un salon ordinaire, un de ces endroits qui n’ont rien de romanesque mais qui, ce soir-là, deviennent un décor chargé. Les lumières sont basses, presque tamisées volontairement, comme pour laisser de l’air autour des gestes. Ta femme est là, calme, avec ses gros seins, sa poitrine naturelle qui semble absorber la lumière au lieu de la renvoyer. Elle respire plus fort que d’habitude. Pas par peur. Par anticipation. Tu le sens dans sa manière de bouger, d’avancer d’un pas puis de s’arrêter, comme si elle jaugeait l’instant, comme si elle essayait d’apprivoiser ce qui l’attend. Le troisième, lui, se tient à distance au début. Rien d’intrusif. Il attend. Ça donne à la scène un rythme étrange, fait de regards, de micro-signaux, de gestes minuscules. Et c’est exactement ce qui permet d’éviter de tomber dans le cliché du candaulisme, même si, quelque part, c’est bien de ça qu’il s’agit : un équilibre fragile où chacun trouve sa place sans que personne ne force rien. L’expression mari cocu, ou juste cocu, ici n’a rien de dramatique. C’est plus une posture, un rôle accepté, assumé, un cadre où chacun peut respirer autrement. Puis les choses avancent. Ta femme se rapproche, et c’est là que la scène prend du relief. Elle s’agenouille, presque naturellement, comme quelqu’un qui sait ce qu’il veut sans avoir besoin de l’annoncer. La fellation, dans cette version neutre, n’a rien d’agressif ou de choquant. C’est un geste ancré, calme, précis. Ses mains se posent, son regard monte parfois, puis redescend. Le troisième la laisse faire, sans précipitation. Toi, tu regardes, avec cette distance étrange qui mélange fierté, désir, curiosité, un petit vertige aussi. Son geste devient une sorte de levier : la scène bascule vraiment à partir de là. Ensuite vient la levrette, un mouvement plus ample, plus ancré dans les corps. La femme se cambre, et ses gros seins bougent avec un naturel qui capte presque toute la lumière de la pièce. Sa chatte rasée, sa chatte mouillée, devient un détail parmi d’autres, mais un détail qui dit beaucoup : elle est présente, elle est engagée, elle vit l’instant. Rien de théâtral. Juste cette vérité-là. La scène n’a pas besoin de cris, de poses forcées ou de gestes brusques. Elle se déploie dans un rythme organique : un corps qui se tourne, un autre qui s’approche, une pipe qui se glisse au détour d’un changement, ta respiration qui s’accélère sans que tu t’en rendes compte. Le Trio fonctionne, non pas par perfection, mais par sincérité. C’est ça qui reste : un moment brut, imparfait, vivant. Une première fois qui ne cherche pas à imiter quoi que ce soit. Une histoire de corps, de confiance, d’espace partagé.

10 votes (88%)
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