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Je me branle pendant qu'elle regarde la télé

Vidéo n°108698 ajoutée le 09/12/2025 02:00 dans française, branlette Amateur. Elle a été vue 6119 fois, dure 01:15 mns et a reçu 3 votes (67%). La scène revient avec ce côté un peu flottant des fins de journée, quand la pièce est éclairée juste par la télé et qu’on entend ce bourdonnement discret qui remplit le silence sans vraiment le casser. C’est dans cette ambiance-là que tout s’est installé, sans préméditation, presque comme un réflexe. Je me branle pendant qu’elle regarde la télé — dit comme ça, ça sonne cru, direct, mais dans la réalité, c’était surtout un moment suspendu, un mélange de distance et de proximité qui raconte bien plus que l’acte en lui-même. Elle, française, un peu black, un peu métisse, avait cette manière de s’installer, les jambes repliées, l’œil mi-capté par l’écran, mi-absent. Une coquine sans jamais jouer un rôle, juste une femme à l’aise dans son espace, dans son souffle, dans sa façon de laisser venir les choses. Elle ne faisait rien pour guider ou accélérer quoi que ce soit : c’était sa manière de dire qu’elle laissait place, qu’elle observait sans le montrer. De mon côté, la branlette avait quelque chose d’étrangement calme, une masturbation presque méditative, rythmée par les images claires et bleutées de la télé. Le mot grosse bite, la grosse queue, tout ça n’était qu’une façon maladroite de nommer l’instant, pas une provocation. Juste une manière de reconnaître que le désir existe encore même dans les moments où rien ne semble s’y prêter. Ce sexe en soirée, ce n’était pas une scène torride, mais une parenthèse silencieuse où chacun restait lui-même. Je voyais comment elle souriait parfois sans détourner les yeux de l’écran, comme si elle enregistrait tout sans vouloir casser la dynamique. Elle ne disait rien, ne commentait rien, mais sa présence suffisait. La télé continuait, indifférente, pendant que je sentais ma respiration changer, mes gestes s’ajuster. La branlette devant la télé n’avait rien de théâtral : c’était un langage discret, un truc qui existe entre certaines personnes quand la complicité dépasse les mots. Un moment un peu bancal, un peu doux, un peu cru, mais vrai. Un de ces instants où tu comprends que le désir ne se montre pas toujours comme on le raconte, mais comme il vit dans l’ordinaire.

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