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Je kiffe la double pénétration

Vidéo n°108761 ajoutée le 12/12/2025 18:00 dans gode, double pénétration Solo. Elle a été vue 326 fois, dure 07:40 mns et a reçu 2 votes (80%). L’ambiance est feutrée, presque silencieuse, avec cette lumière douce qui tombe sur le lit en fin de soirée. Rien de pressé. Juste un moment pour soi, assumé, intime, où le corps prend le dessus sur le reste. Ici, on parle de plaisir solitaire vécu sans détour, d’une femme qui connaît ses envies et qui les explore à sa façon, loin des regards, dans un cadre calme et maîtrisé. L’atmosphère n’est pas excessive, elle est posée, réaliste, presque banale dans sa simplicité. Le cœur de l’expérience repose sur la recherche de sensations multiples, sur ce jeu d’équilibre entre intensité et contrôle. L’usage du gode devient un prolongement naturel du corps, intégré sans mise en scène inutile. La notion de double pénétration est évoquée comme une exploration personnelle, une curiosité assumée, sans voyeurisme. On est dans quelque chose de réfléchi, de conscient, où chaque geste est guidé par l’écoute de soi plutôt que par la performance. Le profil décrit mélange des imaginaires : française, asiatique, bonasse, autant d’étiquettes qui nourrissent les fantasmes mais restent ici au second plan. Ce qui compte, c’est le ressenti. La chatte rasée, la chatte mouillée, l’anus dilaté sont mentionnés comme des états, des sensations, pas comme des images choquantes. Le sexe en soirée prend alors une dimension presque méditative, un temps suspendu où le corps se concentre sur lui-même, sans rôle à jouer. Dans le lit, le gode devient un outil parmi d’autres, posé là, utilisé puis reposé, dans un rythme qui appartient à celle qui mène la danse. La jouissance n’est pas une finalité spectaculaire, mais une montée progressive, parfois diffuse, parfois plus franche. Ce type de moment parle à beaucoup, parce qu’il est ancré dans une réalité simple : se faire du bien, sans justification, sans décor artificiel. On est loin du cliché. C’est une scène intérieure, vécue de l’intérieur, qui assume le plaisir solitaire comme une expérience normale, personnelle, presque quotidienne. Un rapport direct au corps, sans filtre, sans jugement, juste une parenthèse assumée.

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