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Je gode la chatte de ma femme et elle kiffe

Vidéo n°108648 ajoutée le 07/12/2025 02:00 dans française, gode Amatrice. Elle a été vue 146 fois, dure 00:35 mns et a reçu 1 vote (100%). Ça commence par un souffle un peu trop chaud dans la pièce, celui qui s’écrase contre les murs comme une vapeur discrète et qui dit, sans prévenir, que la soirée bascule. La lumière tombe en biais sur le lit, coupant la scène en deux : d’un côté ton geste précis, de l’autre sa manière de s’y abandonner. Elle est là, française, milf, ce mélange de douceur et de tension, le corps déjà prêt avant même que tu la touches. Son dos se creuse à peine, un cul cambré qui se dessine naturellement, comme si son corps savait exactement ce qui va suivre. Le gode dans ta main paraît presque calme, trop calme par rapport à ce qui se passe en elle. Elle se place sur le lit, ses cheveux glissant sur son épaule, sa respiration qui fait vibrer l’air autour. La chatte rasée, nette, visible, sans mystère, offre ce contraste brut avec la chaleur qui monte déjà entre ses cuisses. Une chatte mouillée, une chatte en feu même, pas besoin de le dire plus fort : ça se voit dans la façon dont elle serre les draps, dans cette tension qui descend jusque dans ses jambes. Tu t’installes, lentement, sans chercher la performance. Ce n’est pas une scène à filmer, c’est une scène à vivre. Le gode dans le lit, posé puis repris, comme un outil qu’on manipule pour trouver le bon rythme. Elle ferme les yeux un instant, puis les rouvre, cherchant ton regard juste pour vérifier qu’elle peut aller plus loin. C’est ça le vrai langage d’un couple mature : pas des mots, mais ces micro-signaux qui disent tout. Quand tu commences à la goder, ce n’est pas une mécanique. C’est une pulsation. Le mouvement avance, recule, se cale sur sa respiration qui devient plus courte, plus heurtée. Elle kiffe, vraiment. Pas une exagération, pas un rôle : un frisson réel qui remonte dans son ventre et fait trembler ses doigts. Elle se cambre un peu plus, laisse glisser un son, un souffle cassé, quelque chose qui ressemble à un abandon. Dans cet instant, la salope soumise dont elle parle parfois n’est pas une étiquette, juste une nuance de son désir, une place qu’elle choisit. Toi, tu continues, guidé par sa réaction, sans forcer, juste en ajustant le rythme. Elle monte, elle redescend, elle retient sa respiration avant de la relâcher comme une vague. La jouissance n’est pas un point final : c’est une montée lente, une vibration qui s’étire dans la chambre, une chaleur qui colle à la peau. Et dans ce silence chargé, tout paraît plus vrai, plus brut, plus vivant.

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