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Je filme mon amant en train de me baiser la chatte

Vidéo n°108199 ajoutée le 13/11/2025 16:00 dans française, cocu Amateur. Elle a été vue 10824 fois, dure 45:47 mns et a reçu 9 votes (89%). L’air sent le linge propre et la sueur mêlée, cette odeur de chambre après-midi, ni propre ni sale, juste vivante. Elle tient son téléphone d’une main, pas tremblante mais pas stable non plus. On entend le frottement du drap, le souffle court, la respiration de son amant qui s’accélère. Ce n’est pas une mise en scène. C’est juste la réalité d’un moment saisi, brut, sans filtre. Elle filme son amant en train de la baiser la chatte, sans détour, juste parce qu’elle aime revoir plus tard ce qu’elle ressent là, maintenant. La lumière naturelle glisse sur sa peau, sur sa chatte rasée qui bouge au rythme de la grosse bite de son plan cul. Pas un mot, juste le son du sexe, de la peau qui frappe, du souffle qui s’étire. C’est cru, mais pas vulgaire. C’est réel. Et elle sait exactement ce qu’elle fait. Elle filme la bite de son amant faire jouir sa chatte, sans gêne, presque avec fierté. La caméra tremble un peu, mais c’est ce tremblement-là qui dit tout : la perte de contrôle, l’instant où le corps prend le dessus. Dans un coin de sa tête, elle pense à lui — son mari cocu. Pas par méchanceté. Plutôt comme une idée qui plane. Le candaulisme, ce mot étrange, n’a plus rien de théorique. Il devient tangible, presque doux. Ce n’est pas la vengeance ni la honte, c’est une forme d’expérience partagée, même à distance. Elle sait qu’il regardera peut-être la vidéo. Qu’il verra son corps s’offrir à un autre. Qu’il reconnaîtra ce qu’il aimait. Et d’une certaine façon, ça les lie encore, autrement. Son amant, lui, ne parle pas non plus. Il pousse, respire fort, ferme les yeux. C’est mécanique et animal, mais traversé d’une tendresse discrète, presque maladroite. Elle attrape sa nuque, le tire contre elle, se cambre, rit un peu sans savoir pourquoi. Le téléphone tombe sur le matelas, l’image se brouille. Le son, lui, continue. Ce souffle, ce rythme. Cette vérité du corps qui prend le dessus sur tout le reste. Quand ça se calme, elle récupère le téléphone. Regarde deux secondes l’écran. L’image tremble, la lumière bouge, le son sature. Et pourtant, c’est parfait. Parce que c’est vrai. Pas un fantasme, pas une fiction. Juste un morceau de vie capturé, comme une respiration qui ne veut pas s’éteindre. Une sextape sans décor, sans mensonge. Elle éteint le téléphone, sourit, s’allonge un peu. Peut-être qu’elle se dira que c’était fou. Peut-être qu’elle recommencera.

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