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Elle suce la bite de son black dans un ascenseur

Vidéo n°108187 ajoutée le 10/11/2025 08:00 dans fellation, grosse bite Libertine. Elle a été vue 7849 fois, dure 02:04 mns et a reçu 6 votes (97%). Elle se penche un peu, juste ce qu’il faut pour qu’on devine la tension dans l’air. Le néon clignote au-dessus, une lumière blanche, froide, qui découpe les silhouettes dans le miroir de l’ascenseur. On entend le cliquetis sec du panneau d’étage, le souffle retenu, la vibration sourde du moteur quelque part derrière les parois. Et elle, droite, nerveuse, avec ce mélange de trac et d’envie qui fait trembler les doigts. Une Brune au regard fiévreux, les lèvres humides, la peau parcourue d’un frisson. Le silence entre eux pèse un instant, puis tout bascule. Il s’avance, massif, calme, avec cette assurance tranquille qu’ont certains hommes qui savent exactement ce qu’ils provoquent. Le contraste entre sa carrure et la fragilité du lieu crée une tension presque électrique. La cabine devient trop petite, trop chaude. L’air sent le métal, la sueur, le parfum sucré qu’elle a mis un peu trop fort. Elle effleure, hésite encore, puis se laisse aller. Geste lent, précis, presque cérémonial. Son souffle devient court, les mouvements se fondent dans le rythme mécanique de la montée. Ce n’est plus vraiment une scène d’exhibition, mais une parenthèse suspendue entre deux étages, un moment d’abandon pur. Le bruit discret de la ventilation couvre à peine leurs respirations. Dans ce huis clos métallique, tout se joue dans les détails : la lumière sur sa peau, la buée qui monte sur le miroir, le regard qu’elle croise brièvement avant de replonger dans son geste. Rien d’obscène, juste cette intensité brute entre deux inconnus enfermés dans un espace trop étroit pour la pudeur. Et quand les portes s’ouvrent enfin, l’air froid du couloir les frappe. Elle se redresse, lisse ses cheveux, retrouve son calme comme si de rien n’était. Lui sourit, un rien amusé. L’instant s’efface aussitôt, ne laissant qu’un souffle chaud dans le métal de la cabine.

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