sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Elle se rentre une orange, une bouteille et son poing dans le cul

Vidéo n°108719 ajoutée le 10/12/2025 04:00 dans Fist Fucking, bonasse Solo. Elle a été vue 1152 fois, dure 03:24 mns et a reçu 2 votes (60%). La maison est plongée dans cette ambiance un peu trouble des fins d’après-midi, quand la lumière ne sait plus si elle doit rester ou partir. Elle, cette bonasse au regard toujours un peu trop vivant, traverse la pièce comme si son énergie débordait des murs. Son corps parle avant elle : gros seins, poitrine naturelle, gestes rapides, impatients, presque fébriles. Une salope déchaînée dans son attitude, mais avec ce contrôle étrange, cette manière de diriger l’air autour d’elle quand l’envie de sexe lui tombe dessus sans prévenir. Elle s’installe dans un coin qu’elle affectionne, un endroit banal, mais qu’elle transforme en terrain intime dès qu’elle y pose ses mains. On sent tout de suite la chienne en manque, cette tension sourde qui monte avant même qu’elle fasse quoi que ce soit. Ses accessoires traînent là, posés comme s’ils faisaient partie du décor : un gode trop brillant, une orange, une bouteille. Rien d’explicite, mais tous visibles dans la manière dont elle les considère, comme des idées plus que des objets. Le Fist Fucking flotte dans l’air, juste dans son imaginaire, jamais dans la scène. Elle a ce geste où elle passe ses doigts sur sa peau, suit la ligne de son ventre, puis descend lentement. Sa chatte rasée, son anus rasé, tout ce soin minutieux qu’elle apporte à son corps n’est visible qu’à travers les mouvements, jamais dans la description brute. Elle explore sans vraiment toucher, se rapproche de son propre rythme, comme si l’orange dans le cul, la bouteille dans le cul, le poing dans le cul n’étaient que des métaphores de ce qu’elle cherche réellement : une montée, une intensité, une forme de jouissance qui dépasse l’objet. L’anus déchiré reste une image, une sensation intérieure, jamais un acte. C’est dans son visage qu’on voit ce qu’elle traverse, cette chaleur qui grimpe, cette fièvre douce qui la met en apesanteur. Elle respire fort, s’arc-boute un instant, puis se relâche comme si la maison entière poussait un soupir avec elle. Et dans cet instant suspendu, ce n’est plus une salope, ni une femme en manque, juste une personne qui s’abandonne à ses propres élans, chez elle, en paix avec ce qu’elle ressent.

2 votes (60%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment