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Elle se met à genoux et lui suce lentement la queue devant le film

Vidéo n°107661 ajoutée le 15/10/2025 16:00 dans fellation, bonasse Libertine. Elle a été vue 3477 fois, dure 06:24 mns et a reçu 3 votes (100%). Le salon est plongé dans la lumière bleutée de l’écran. Le film tourne, les gémissements du porno se mélangent au souffle court de la coquine excitée. Elle s’approche, robe noire entrouverte, regard fixe sur son mec allongé. La scène a ce goût cru du sexe amateur, capté sans préparation. Elle se met à genoux, entre ses jambes, et effleure sa grosse bite du bout des lèvres. Lui ne bouge presque pas, fasciné par l’image, par elle surtout. Sa chienne en manque relève la tête, le fixe, puis recommence. La fellation débute lentement, bouche humide, rythme irrégulier. On entend le bruit de la salive, la respiration forte, la chair contre la peau. La robe noire glisse sur ses épaules, révélant ses gros seins, lourds, brillants sous la lumière du film. Le porno continue à l’écran, mais dans la pièce, c’est plus vivant, plus vrai. La salope en feu s’applique, accélère, s’interrompt parfois pour reprendre son souffle. La main sur la base de la queue, elle joue avec la langue, avale un peu plus à chaque fois. Il grogne, la main dans ses cheveux. L’ambiance devient moite, l’air chaud, presque électrique. Elle se redresse, remonte sur lui, la chatte rasée déjà mouillée. La levrette suit naturellement, comme un réflexe. Il la retourne, la prend dans le canapé, la robe remontée jusqu’aux hanches. Le bruit sec des corps couvre le son du porno. La baise devient plus forte, plus désordonnée. Le décor banal du salon se transforme en scène brûlante : un coussin jeté, une bouteille vide, un rideau qui colle à la vitre. Dans cette vidéo de sexe amateur, tout est là : la spontanéité, la maladresse, la passion brute. Pas de faux rythme, pas de pose. La coquine excitée garde sa tenue coquine, la bouche entrouverte, les seins qui rebondissent. Sa chatte mouillée claque sous la cadence. Il accélère, la tire vers lui, la défonce avec cette envie de jouir qui fait trembler tout le corps. La fin arrive sans prévenir. Une dernière poussée, un cri étouffé. Elle se retourne, haletante, un sourire fatigué sur les lèvres. La caméra reste fixe, capte la chaleur, la vérité du moment. Le film continue en fond, indifférent. Eux deux, par contre, ont vécu la vraie version : la passion, le désordre, la sueur.

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