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Elle garde sa robe en cuir pour se faire prendre en levrette

Vidéo n°108923 ajoutée le 21/12/2025 08:00 dans française, levrette Libertine. Elle a été vue 2603 fois, dure 01:14 mns et a reçu 3 votes (73%). Il y a d’abord cette image qui s’impose, presque immobile. Ma femme, française, debout dans la chambre, sans chercher à se mettre en scène. La robe en cuir est là, gardée volontairement, comme une décision silencieuse. Le cuir, le fétichisme, ce ne sont pas des gestes mais des intentions. Une manière de rester elle-même tout en acceptant autre chose. La bonasse, la Brune sexy… ce sont des mots qui viennent après, quand on tente de qualifier une présence qui, sur le moment, se suffit à elle seule. La levrette n’est jamais expliquée. Elle existe comme une posture mentale, un angle du corps, un cul cambré qui s’impose naturellement. Dans le lit, dans la chambre, le sexe en soirée prend une autre texture : moins pressée, plus lourde, presque feutrée. Le cuir ne disparaît pas, il contraint légèrement les mouvements, il rappelle qu’elle a choisi de rester habillée. Le cul ferme devient un point de fixation, un repère visuel qui revient sans cesse dans le souvenir. Chienne en chaleur, ce sont des mots crus, mais ils traduisent surtout un état intérieur. Une tension qui monte sans bruit, une chatte mouillée pensée plus que regardée. Rien n’est détaillé, tout est suggéré. La levrette dans le lit devient un état d’esprit : accepter la proximité, l’abandon, sans perdre le contrôle. La robe en cuir reste en place, comme une frontière fine entre ce qui est montré et ce qui ne l’est pas. Quand j’y repense, ce n’est pas l’acte qui reste, mais l’atmosphère. Le contraste entre le cuir froid et la chaleur du moment. Le silence de la chambre, le poids de la soirée. Une scène de porno amateur intérieur, imparfaite, jamais complètement nette. Ma femme, en cuir, en levrette, mais surtout présente, réelle, assumée. Le souvenir ne se ferme pas. Il flotte. Une image fixe, un cul cambré, une tension partagée. Rien de spectaculaire. Juste un moment suspendu, qui revient parfois sans prévenir, et qui s’efface doucement, sans jamais avoir besoin d’être expliqué.

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