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Elle avale ma queue puis se fait démonter sous la tente en plein jour

Vidéo n°107682 ajoutée le 16/10/2025 10:00 dans fellation, grosse bite Libertine. Elle a été vue 1533 fois, dure 04:19 mns et a reçu 3 votes (80%). L’air chaud colle à la peau, ça sent la toile humide et l’herbe écrasée. La tente tremble un peu, un coin de tissu s’agite avec le vent, et au fond on entend des oiseaux qu’on dirait gênés de mater. Elle, elle est déjà à genoux sur le vieux matelas gonflable qui grince, la bouche ouverte, les seins lourds qui se balancent au rythme de sa respiration rapide. J’la regarde, elle rigole à moitié, genre gênée, genre déjà excitée. Elle approche sa bouche, la chaleur de son souffle me frôle, puis elle gobe tout doucement. Une suceuse comme on en croise rarement. Pas une qui fait semblant. Sa langue glisse, avale, ressort, puis repart plus fort. Bruits mouillés, mouvements saccadés. La tente bouge au même rythme. Le goût du latex, l’odeur de son shampoing mélangé à la sueur, c’est sale, c’est parfait. Je la tire vers moi, la couche, le dos contre le sol gonflé qui couine à chaque coup de bassin. Sa chatte est déjà trempée, on dirait qu’elle m’attendait depuis la veille. J’entre d’un coup, sans prévenir. Elle crie, mais pas fort, juste ce qu’il faut pour que le son se perde dans les feuillages. Elle me griffe le dos, elle s’agrippe, les cheveux collés, les yeux mi-clos. Gros plans mentaux, la lumière passe à travers la toile, fait des ombres étranges sur son corps. Gros seins qui rebondissent, sa peau brille. Elle gémit, elle se cambre, la tente respire avec nous. Je change de rythme, plus lent, plus profond. Chaque coup claque dans le silence moite. Elle gémit mon prénom comme si c’était une prière. Puis elle me regarde, un sourire tordu, genre “vas-y, continue, j’suis à toi”. Je la retourne, ses fesses levées, le corps offert. Levrette dans le petit espace, presque acrobatique. Je la prends plus fort, la sueur dégouline, le sol plastique colle à nos genoux. Odeur de peau, souffle court, bruits crus. Elle demande à ce que je vienne en elle, comme une urgence. Et j’le fais, lentement, enfoncé à fond, sans bouger, juste le temps de sentir le moment exploser. Silence. Puis le souffle. Puis ce rire nerveux à deux doigts du fou. Elle attrape une bouteille d’eau renversée, la boit à moitié, l’autre moitié finit sur son ventre chaud. On reste là, moitié collés, moitié tremblants. La toile bouge encore, et dehors, le monde s’en fout. Dans cette vidéo de sexe amateur, la tension monte vite entre eux. C’est brut, sans décor, juste deux corps sous la toile, un mélange d’instinct et de plaisir cru.

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