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Assise sur ma queue à l'hôtel

Vidéo n°108202 ajoutée le 12/11/2025 12:00 dans  Mature. Elle a été vue 4331 fois, dure 01:47 mns et a reçu 6 votes (77%). L’air sentait le linge chaud et un peu de parfum sucré, celui qui reste sur la peau après la douche. La lumière tombait d’un côté du lit, fine, dorée, presque douce. Le silence n’était coupé que par le froissement des draps et le souffle régulier de deux corps encore hésitants. Il y avait cette lente montée, cette tension calme, avant que tout ne se relâche enfin. Elle, coquine excitée, s’avance sans un mot. Ses mains s’appuient sur mes épaules, son regard accroche le mien. Et là, simplement, tout se fait. Assise sur ma queue à l’hôtel, elle ondule lentement, sans précipitation. Chaque mouvement fait craquer le lit, chaque souffle devient plus lourd. La peau contre la peau, moite, électrique. On sent le temps se dilater, les gestes se répéter, précis, sensuels. Mon plan cul vient s’empaler profondément sur ma grosse bite, avec cette assurance tranquille qu’elle a toujours eue. Le corps prend le relais des mots. Il y a quelque chose de brut et de tendre à la fois. Le couple mature qu’on forme dans ces instants ne se cache pas. Pas besoin de paraître. On sait ce qu’on veut, et surtout ce qu’on ne veut plus. C’est là, dans le vrai, dans la respiration, dans le rythme imparfait mais sincère. La salope qu’elle devient parfois, c’est juste une autre facette d’elle. Une liberté sans calcul. La chatte mouillée, le dos cambré, les cheveux collés à la nuque. C’est beau, un peu animal, un peu fragile aussi. Elle respire fort, s’arrête une seconde, se relève, puis recommence. Tout s’accorde, tout s’aligne. On est dans le présent pur. Le miroir renvoie un reflet trouble : un drap qui glisse, un geste qui tremble, une sueur qui brille. L’instant n’a rien de parfait, et c’est justement ce qui le rend vrai. On ne joue pas, on vit. Sexe à l’hôtel, encore une fois, comme un rituel discret qu’on retrouve sans se le dire. Une parenthèse où le monde s’efface. Elle rit un peu, mord sa lèvre, puis accélère. La tension monte, son souffle saccadé, son corps contre le mien. Une daronne déchaînée, libre, vivante, sans filtre. Et moi, je regarde, je sens, j’écoute. Chaque mouvement devient mémoire. Rien à prouver, rien à cacher. Juste un moment brut, sincère, humain.

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